mardi 22 décembre 2009

Did you forget me?

This is my first Post in a serie called "Why we are building Kwaga"

I write a lot of mail. To a lot of people. And I have huge expectations. I really would like mail exchange to be just like a conversation, only asynchronous.

However, conversations, being real time and real space, have one big advantage: when the opposite party fails to answer, it's pretty obvious. No such things in mail: how many threads fall behind by lack of answer from one of the protagonists?

And I'm not perfect either, so I probably fail to answer to a fair share of threads.

I used to "Star" threads that I really wanted to get an answer to. This didn't work so well because I often forgot to "Unstar" them once I got an answer. And it worked only in one direction, from me the to world. It did not help when I was the one forgetting to answer.

So we dreamed a feature for Kwaga: "Send and Follow". When I want an answer, I use the "Send and Follow" button instead of the "Send" button. I can even set a time frame, like if I would like an answer for tomorrow or next week. That way, from time to time, I can review my "Followed mail" list and see which threads I lagging and need follow-up, safely knowing that answered threads are automatically taken out of this list.

And from the other side, if both my correspondent and I have Kwaga, I know which threads I still have to answer.

Just like when I had a personal assistant. Neat. This is why we are building Kwaga.

And you, how do you keep people for forgetting to answer ?

mercredi 4 novembre 2009

IMAP alert in GMAIL

Woke up this morning to find that all the mails I received during the night were already marked as read in my gMail Inbox!

Strange, but I've seen stranger things before, so I grabbed another coffee and headed for Kwaga's office. As soon as I turned on my iMac I found a message on our getSatisfaction site from one of our dear beta users signaling the same problem.

Humm... So I sat down to test and yes indeed since sometime last night, after the Kwaga server treats the body of a mail through its IMAP connection, the mail is suprisingly marked as read.

This is obviously not acceptable, so we immediately took out servers offline (with a tweet and a mail to our beta users) and went deep in hacker mode. To resolve this we simply set a paramter (Peek Mode) in IMAP that was previously ignored by Gmail. After validating the fix a few minutes later, thanks to our awesome continuous development framework (thanks, Fred), we were able to push a hotfix live and restart out service.

From start to finish, Kwaga was back online in 20 minutes.

I then relaxed and searched on Twitter and it appears others were also impacted when Google modified how it handles IMAP GET MESSAGE BODY and even my iPhone was effected.




Anyway, thank you to our first user who pinged us so that we could correct this in real time. And for all of you IMAP Geeks around the world, set the PEEK mode to TRUE if you get mail's BODY from gmail.

dimanche 27 septembre 2009

A day at seedcamp


Seedcamp Week, c'est 22 startups (dont une seule française) et 270 mentors qui vont passer une semaine ensemble à Londres afin de sélectionner les cinq startups les plus prometteuses du moment.
Le modèle de Seedcamp est simple : repérer les meilleures startups européennes, les confronter à des mentors (investisseurs ou entrepreneurs ayant déjà réussis) et prendre une participation dans les meilleures d'entre elles. En France, Seedcamp est surtout connue comme investisseur de Stupeflix et de Kwaga.

Cette première journée commence par les "pitchs" : chacune des 22 startups en compétitions (Platogo et Kwaga sont hors compétition, comme à Cannes, car elles sont déjà lauréates des éditions allemande et française) va présenter son concept en 5 minutes chrono. L'exercice est difficile, surtout pour ceux qui ne sont pas de langues maternelle anglaise. Pendant les présentations, les tweets se succèdent (#scw09) et permettent de mesurer en direct le succès de chacun. Cette année, les mot clés sont raison gardée, business model et frugalité. La crise est passée par là et aucune société ne prétend inventer de nouveaux mondes. Je me trouve finalement bien ambitieux de vouloir changer le mail avec Kwaga ! Trois sociétés font rapidement consensus ; Boxed Ice qui fournit un service de surveillances des serveurs, Codility, une société polonaise qui automatise le recrutement de développeurs avec des tests en ligne (j'essaierais bien ça lors de nos prochaines embauches) et Joobility qui se propose de choisir pour vous votre prochaine destination touristiques.

Dans tous les cas, les présentations sont de très haut niveau. Certaines start-up ont déjà des milliers d'utilisateur et des clients pilotes. D'autres sont plus modestes, comme Petsicon qui ambitionne de révolutionner l'auto-diagnostic en ligne pours les animaux domestiques en s'aidant de système expert (retour un peu inattendu de l'intelligence artificielle - qui se rappelle que le premier système expert français était spécialisé dans les maladies de la tomate?).

L'après-midi est consacrée aux séances de mentoring : les entrepreneurs vont participer à quatre séances de coaching avec à chaque fois quatre mentors qui vont chercher à les aider mais aussi à tester la viabilité des startups afin d'élire les trois meilleures à la fin de la semaine. Les mentors sont nombreux et variés. On y retrouve pèle-mèle des entrepreneurs ayant déjà réussi, tels Faisal Galaria de Spotify ou Hjalmar Windblad fondateur de SendIt (achetée par Microsoft) et actuel CEO de Rebtel, un opérateur mobile équitable et des investisseurs représentant les plus grands fonds européens tels Eden Ventures, Balderton Capital, Forsyth Group... A noter également de nombreux "Googlers" - et le sponsoring de Microsoft BizPark. Ces quatre séances se révèlent à la fois très enrichissantes mais également éprouvantes pour l'entrepreneur qui doit à la fois expliquer son concept, le défendre mais aussi engranger le maximum d'information face à de fortes personnalités qui ont souvent des avis très tranchés mais très contradictoire. C'est sans doute là le principal enseignement du mentoring : savoir écouter les conseils sans se laisser dérouter, au propre comme au figuré.

Le journée se finit par un superbe cocktail sponsorisé par Atlas Ventures. Surprise : certains mentors sont en fait les gagnants de la Seedcamp week de 2008. C'est cela aussi Seedcamp : de candidat à juge en 12 mois.

La citation du jour : "An entrepreneur is someone who pursues opportunities outside their current level of resources."

jeudi 9 juillet 2009

Muga Kwagi


J’ai une profonde fascination pour la « marque » (précisément, le mot ne convient pas peut-être, et pourtant si : c’est là tout son art) MUJI.

MUJI est l’abréviation de « Mujirushi Ryöhin », textuellement « produits de qualité sans marque ». Le concept de base est simple : Muji cherche à répondre à des besoins sans s’encombrer de fioritures, en allant droit au but ; la fonctionnalité des objets est donc optimale tandis que leur packaging est résolument minimaliste. J’aime cette sobriété revendiquée, et cette volonté affichée de répondre à des besoins plutôt que d’en créer. Je suis peut-être très idéaliste et naïf dans cette vision des choses, puisque MUJI est aujourd’hui une marque authentique, extrêmement identifiable et le revendiquant ; pourtant, cette éthique d’entreprise me séduit encore et toujours, et j’ai la volonté d'inscrire Kwaga dans cette lignée post-moderne dont la devise pourrait être « Less is more ».

Je crois en effet que nous sommes arrivés à un tournant majeur de la consommation. Sans cela, comment expliquer les succès phénoménaux de MUJI, Apple, ou encore Google ? Ce qui rassemble ces entreprises, c’est, me semble-t-il, leur volonté d’offrir un vrai service sans encombrer.

Kwaga veut s’inscrire dans cette éthique du service : mettre à disposition du plus grand nombre des outils simples dont le seul but est de faciliter votre quotidien. D'ici quelques semaines, nous allons mettre en ligne nos premiers écrans. J'espère que vous, mes lecteurs, vous nous aiderez à atteindre la vraie simplicté.




mercredi 8 juillet 2009

Good Morning England


Premier Post invité de mon blog. Je passe la parole à Eric, mon (dans le désordre) ami , associé et directeur général de Kwaga :


Le train sous le tunnel en revenant de Londres pour un pitch avec Seedcamp devant parmi les plus fameux bloggeurs américains et israéliens (les traveling geeks). Tellement fameux qu’ils en vivent, tellement suivis qu’une de nos interviews est filmée en live sur la toile. 105 visites avant la fin des 5 mn.

La conversation qui roule sur notre propre blog et les thématiques à y mettre. Philippe (notre CEO adoré) qui me dit la difficulté d’écrire chaque JOUR, même un petit morceau.

Effectivement, le premier jour, vous pouvez raconter comment la mauvaise humeur du motard qui s’est tout de même retrouvé coincé dans les bouchons s’est envolée devant le sourire éblouissant de la nouvelle intérimaire. Le deuxième jour, vous pouvez parler de la muse qui n’était pas là pour vous inspirer. Le troisième jour,… Alors le septième jour…

Plus sérieusement, moi qui vient d’un univers « réel » du service avec des boites à retourner et à rendre profitable, de grosses équipes à développer et à faire grandir pour faire la différence, du développement commercial à aller chercher, je suis comme un gosse émerveillé devant ce nouvel univers, cette nouvelle frontière que je découvre.

Quand Philippe m’a parlé de son projet, j’étais en train de retourner une activité logistique et nous avions un projet de croissance externe où j’étais l’absorbé. Une nouvelle expérience professionnelle qui arrivait au bon moment.

Voir la genèse de notre bébé, revivre une paternité quasiment from scratch sans les contraintes d’un groupe de plusieurs centaines de millions de revenu et de milliers de personnes, il faut le vivre au moins une fois dans sa vie professionnelle.

Le concept part au départ des créations automatiques de rendez vous et de mises à jour de fiches contacts, le genre de choses détestables à faire avec son blackberry, avec de doigts subitement devenus énormes sur les petites touches, le tout en attendant l’avion dans l’aéroport.

Après il y a des rencontres. « Pas mal, mais un peu trop feature ». C’est quoi un(e) feature ? Un(e) feature, ce n’est pas un détail, c’est plus l’équivalent de la valeur ajoutée de l’essui glace avant droit comparée à l’ensemble de la voiture. Bon on va essayer au moins de faire l’ensemble du pare brise. Et très vite apparaît cette idée de gérer et canaliser tous le flux d’information qui déferlent dans notre messagerie : catégorisation, urgence par rapport aux deadlines des mails, suivi des demandes d’actions pour lesquels vous n’avez pas encore reçu de réponses ,…

Je ne résiste pas à vous citer cet excellent résumé de Denise Murray (Professor Emeritus, San José State University, California) sur notre thématique:“[Managers] would like to be able to track outstanding promises they have made to others, promises made to them, requests they've made that have not been met and requests made of them that they have not fulfilled.

Bref la « feature » commence à prendre de l’épaisseur. D’ailleurs celui qui nous avait traité de feature est devenu depuis l’un de nos actionnaires.

Autres rencontres sur la construction du Business Modèle Celui ci va évoluer très rapidement d’un modèle que publicitaire à un modèle » fremium « qui se complète ensuite par des accords en OEM et B2B dans une seconde étape.

Les VC par exemple : pourquoi pas directement en B2B where the real money is located. Comme nous sommes partis sur des métaphores automobilistes dans ce premier blog, voici la réponse. Partir sur du Freemium avec des serveurs chez nous, c’est un peu comme l’atelier de formule 1 où l’équipe passe son temps à régler et upgrader le bolide. En revanche, le B2B, c’est la construction d’une usine pour des véhicules qui sont ensuite à maintenir à distance. Pas le même modèle de production, ni de commercialisation. De plus il y a une vraie cohérence dans l’enchainement

Dernière rencontre aujourd’hui: why do you give it for free, why are you so generous ? You have to be paid for your service… Une petite graine semée aujourd’hui qui ne change pas notre stratégie de déploiement, mais qui germera peut être sur un mix marketing légèrement différent.

L’Eurostar arrive en Gare du Nord…

La suite au prochain déplacement.


Eric.

mardi 16 juin 2009

Send mails from EC2 servers using Perl

A more technical post for my geek readers. At Kwaga, we are using a lot of cloud computing, and specifically with the excellent Amazon AWS. Our philosophy is to build stateless processes that can spread across several servers or bundle together on a single instance. We ran recently into a vexing problem: how to send mails from EC2. I'd like to walk you through our solution.


1. Why you need a specific solution ?
You can use sendmail directly, and it often works. But some (a lot in our experience) of the mails will not be delivered. It's probably partly because of the lack of matching reverse DNS records. But spam filters can be a bit arbitrary and the easiest way is to relay outgoing mail through a good smtp provider. (Thanks to Paul Dowman for pointing this to us).

2. authsmtp
We tried a couple of SMTP providers, and finally decided on AuthSMTP. They are reliable, have good service, and our mail that’s delivered through them almost never gets marked as spam. Also, they have monthly quotas rather than daily, so you have a chance to increase it before you hit the limit.

3. net::smtp
Some parts of our process are in Perl so we turned to CPAN and to the Net::SMTP package. Install via cpan, run it... and bang, no way to use the (barely documented) auth call to authorize your mail sender address. It seems the SASL authorization scheme is not supported by authsmtp. So we had to do some poking around with the SMTP protocole to generate a compatible LOGIN AUTH scheme. Here is the full code :


use Net::SMTP;
use MIME::Base64;

sub sendMail {
my $to = shift;
my $subject = shift;
my $body = shift;

my $smtp = Net::SMTP->new('mail.authsmtp.com', Hello => 'the domain you used for authsmtp');
$smtp->datasend("AUTH LOGIN\n");
$smtp->response();$smtp->datasend(encode_base64('your authsmtp username') );
$smtp->response();
$smtp->datasend(encode_base64('your authsmtp password') );
$smtp->response();

$smtp->mail('your authorized authsmtp sender address', AUTH =>'your authorized authsmtp sender address');

$smtp->to($to);
$smtp->data();
$smtp->datasend('To: ' . $to . "\n");
$smtp->datasend('Subject: ' . $subject . "\n");
$smtp->datasend("\n");
$smtp->datasend($body);
$smtp->dataend();
$smtp->quit;
}

Ok, that's all folks, I hope it will save time for some of you!

Nous sommes une entreprise de technologies innovantes


La nouvelle est tombée dans ma boîte mail il y a quelques jours et a été ébruitée ici : Kwaga est lauréat du CNCE 2009 (Concours National d’aide à la Création d’Entreprises de technologies innovantes) organisé par le Ministère de la Recherche et Oséo. Nous sommes en bonne compagnie puisque nos collègues co-incubés BeezUp et EtherTrust sont présents à nos cotés. Je peux également vous dévoiler qu'une des autres participations de SeedCamp en France fait partie des lauréats... annonce officielle certainement sous peu.


C'est en tout cas un signe très encourageant. La prochaine étape, qui nous mobilise totalement, est de sortir une première version de notre service, en "private beta" bien sûr. Stay tuned, it's real soon now.


Merci à toute l'équipe et à nos actionnaires de la première heure, sans vous, rien de possible.

dimanche 7 juin 2009

Corporate Search, kesako ?

Deux news récentes (ici et ) me rappellent que finalement les moteurs de recherche d'entreprise n'intéressent pas grand monde, contrairement aux moteurs de recherche sur le Web qui monopolisent régulièrement le haut de l'affiche - ces dernières semaine, il était par exemple difficile d'échapper à Bing, Wolfram Alpha ou Google Square.
Le "corporate search" est au mieux une commodité, au pire une obligation dont les CIO se passeraient bien. Le besoin est pourtant évident, mais la réponse est dans les "Search Based Application", les applications verticales fondées sur, ou augmentées par, de la recherche et de la navigation intelligente. 
Lorsque je dirigeais Sinequa, nos plus grands succès ont effectivement toujours été liés à des besoins verticaux avec plus que  simplement de la recherche : interaction client en OEM d'Instranet ou d'Eptica, applications de renseignement avec Nuxeo et Eurocis, ou bien broadcast automation avec SGT. Même en ce qui concerne les solutions presses, mon domaine de prédilection et celui où Sinequa est et reste le leader français incontesté, j'ai souvent choisi de travailler en partenariat avec d'autres, Eurocortex (racheté par nStein), Lexio ou Qwam.
Bravo en tout cas à mes camarades de Sinequa pour ce partenariat dans un nouveau domaine, la sécurité numérique, j'ai hâte d'en voir les premières applications.
  

mardi 2 juin 2009

Entreprendre à plusieurs…


S’associer n’est pas chose facile, loin de là. Les critères de choix notamment m’ont longtemps posé problème. J’entendais dire partout que le critère éthique devait l’emporter dans le choix de ses associés au départ d’une aventure. Jeune startuper déterminé, je pensais quant à moi que le critère d’efficacité devait primer : pour moi, il fallait du contenu avant tout, et donc réunir autour de mon projet des personnes qualifiées et efficace, capable d’abattre une charge de travail impressionnante et d’innover à tout prix. Sans rire, l’associé diesel n’est-il pas le cauchemar du jeune startuper !!? Avide d’y aller, et vite, et jusqu’au bout, il n’est pas question d’attendre, de regarder derrière ou d’examiner la situation : on est les meilleurs, on écrasera tout le monde, parce qu’on est jeunes et qu’on en veut. N’empêche, cette période-là est fabuleuse à vivre ! Mais elle peut exposer à de graves désillusions.
La désillusion est l’étape indépassable que doit traverser le jeune entrepreneur pour devenir le manager expérimenté (si...) que tout le monde aura envie de suivre ensuite. Or, je crois pouvoir affirmer que, si les désillusions sont nombreuses, les plus dures à encaisser — et les plus préjudiciables à l’entreprise, ô combien ! — sont bel et bien les désillusions d’ordre éthiques. Lorsqu’on s’est trompé sur quelqu’un, lorsqu’on y a cru et qu’on était en fait seul, lorsqu’on se rend compte qu’on s’est laissé bercer par une personnalité forte, charismatique, innovante, mais vide de toute éthique et donc dangereuse pour soi comme pour sa boîte, la chute est rude et véritablement traumatisante.
L’expérience m’a doté d’une certitude : si le critère d’efficacité doit bien sûr être pris en compte, il n’est pas celui qui doit déterminer le choix de ses associés. Sur le long terme, le critère éthique est le plus porteur, de très loin. L’aventure qui me paraissait d’abord technologique il y a vingt ans m’apparaît avant tout humaine aujourd’hui ; c’est ce qui me pousse à entreprendre, d’ailleurs, c’est devenu mon carburant à moi : conjuguer les compétences de chacun et tenir la distance ensemble, voilà le véritable pari !
C’est comme le choix du film : aujourd’hui c’est vers Woody Allen que je vais sans sourciller, calme mais jamais décevant, alors qu’à l’époque je fonçais voir le dernier blockbuster sorti, plein d’effets spéciaux à la bande son inimitable… Je préfère aujourd’hui entreprendre avec des gens sûrs, à l’éthique irréprochable. L’expérience m’a appris à ne pas donner la main trop vite, mais quand je la tends, c’est pour de bon, et je constate avec joie que les mains que l’on me tend aujourd’hui sont de cette qualité-là.

Citations du jour :
« Les jeunes sont plus aptes à inventer qu'à juger; plus aptes à exécuter qu'à conseiller ; plus aptes à entreprendre qu'à gérer. » Francis Bacon

« Ce n’est rien d’entreprendre une chose périlleuse, mais d’échapper au péril en la menant à bien. » Le mariage de Figaro, Beaumarchais

mardi 14 avril 2009

Un mail, des mails…


Je ne sais pas vous, mais il m’arrive de me dire que les mails nous empoisonnent l’existence. Le mail est un outil inégalé en matière de communication, professionnelle ou personelle, inter ou extra-entreprise, mais les mails ne sont-ils pas devenus, dans leur profusion et dans leur fréquence, un frein à l’activité de l’entreprise ? Nous, les apôtres des nouvelles technologies, avons longtemps fait « comme si de rien n’était », pour reprendre le titre du nouvel album de notre première dame (je ne m’y fais pas, décidément… mais c'est une autre histoire). Je veux dire par là que l’entreprise a ignoré les problèmes que généraient le nombre et la fréquence des mails en son sein, pour n’en saluer que l’utilité. Or, que celui qui n’a jamais maudit sa boîte mail me jette la première pierre !

Qui n’a jamais eu envie de balancer son ordinateur par dessus bord en revenant de vacances (« vous avez... (Outlook cherche pendant que le cadre s’angoisse) 1236 nouveaux messages ») ? Qui n’a jamais hurlé à la mort en s’apercevant que son lundi matin vient d’être pulvérisé par une activité bête et aliénante : le traitement de mails…?

La récente instauration de l’« E-mail Free Friday » dans les entreprises anglo-saxonnes (toujours pionnières) est l’aveu imparable de cette pollution quotidienne que sont devenus les mails dans la vie des travailleurs modernes… Il est passé le temps du « comme si de rien n’était ». Place à l’action, pour tenter d’endiguer ce tsunami en mettant à la disposition du plus grand nombre des outils simples d’utilisation.

C'est ce que nous voulons faire chez KWAGA  : vous redonner la maîtrise de votre temps en vous proposant une solution de gestion de des outils mails adaptés à vos besoins, à votre quotidien.